Dans le cadre du projet Ecomob de l’Organisation Internationale de la Francophonie, le Réseau Gabonais pour l’Environnement et le Développement Durable (RGEDD) a récemment organisé une opération de nettoyage de la plage d’Acaé à Libreville. L’objectif de cette initiative est de susciter l’intérêt des jeunes pour la préservation de l’environnement. Cependant, ce samedi bien spécial a montré que l’influence positive peut se propager bien au-delà de la jeunesse, tout en commençant dès le plus jeune âge.
Monsieur Romaric Obame, un fervent défenseur de la préservation de l’environnement, a emmené son fils de seulement 5 ans, Uriel Obame, à cette activité de nettoyage. Ce geste simple de parent engagé a eu un impact profond sur son fils, qui a embrassé cette tâche comme un jeu. Uriel s’est particulièrement intéressé à la récolte des bouteilles abandonnées sur la plage, un acte apparemment insignifiant mais au cœur de la mission du RGEDD.
Accompagné de son père et de l’équipe de bénévoles du RGEDD, Uriel a non seulement contribué au nettoyage de la plage, mais il a également appris quelques gestes essentiels en matière de préservation de l’environnement. Il a vu comment des actions simples, comme ramasser des déchets, peuvent avoir un impact positif sur l’écosystème côtier. Bien que Uriel ne comprenne peut-être pas encore pleinement les enjeux de l’activité, son engagement précoce dans la préservation de l’environnement est un exemple inspirant d’éco-responsabilité chez les jeunes. Il incarne ce que l’on pourrait appeler un « bambin éco-responsable, » un terme qui ne peut qu’inspirer d’autres parents à suivre l’exemple de Monsieur Obame.
En fin de compte, Uriel Obame est un rappel puissant que l’éducation et la sensibilisation environnementale commencent dès le plus jeune âge. Le monde a besoin de plus d’individus de toutes générations pour s’engager dans la protection de notre planète, et Uriel nous montre que c’est une mission que même les plus jeunes peuvent embrasser avec enthousiasme.